Plusieurs critiques ont salué « Visions de Johanna » comme l’une des plus grandes réalisations de Dylan et les médias sont plein d’évaluations provennant d’amateurs qui, pas de surprise, vont de haut en bas. Certainement, le language évocateur et subtile de la pièce porte aux interprétations de grande envergure. Des chansons comme celle-ci ont grandement contribué au prix Nobel de littérature de Dylan en 2016.
En écoutant la chanson au cours des 55 dernières années, elle n’a pas diminué dans mon esprit. Elle me remplit encore avec le même sens d’émerveillement comme quand je l’ai entendu pour la première fois en tant qu’adolescent. Les paroles « Le fantôme de l’électricité hurle dans les os de son visage » ou « Les harmonicas jouent les clés du squelette sous la pluie » me hanteront à jamais.Comme toujours, je me dois de signaler l’aide et l’exeptionel support musical d’Alrick Huebener (contrebasse) et Roch Tassé (batterie).
Pour entendre la pièce, cliquez sur le titre ci-bas.
Richard Séguin – voix, guitares acoustiques, guitares électriques 6 cordes, guitares électriques 12 cordes
Alrick Huebener – contrebasse
Roch Tassé – batterie